L’aide aux choix pour une consommation durable

Connexion pour le développement d’une consommation responsable

Nous vous proposons des "extraits de contenus" qui présentent des informations importantes à connaître pour accompagner votre changement. Ils sont classés en trois thématiques. Ces "références" sont extraites de sites reconnus (pouvoirs publics, organisations internationales, associations…).

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Contribution à l'innovation

Rôle du consommateur

Ce sont aux entreprises et aux consommateurs, en tant qu’acteurs de la vie économique, de contribuer, et ceci de manière volontaire, à modifier les modes de production et de consommation. Nous constatons depuis quelques années le développement de chartes ou de codes de conduite dont le principe est de fixer des critères sociaux et environnementaux liées aux procédés et méthodes de production, à la fois pour les entreprises elles-mêmes et pour leurs sous-traitants. La viabilité de ces dispositions volontaires est fortement conditionnée par la réponse du consommateur.
C’est donc finalement le comportement du consommateur qui décide l’avenir de la Terre.

Source/Copyright:  DOLCETA  site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.

Impacts de la demande des consommateurs

Comme les consommateurs commencent à émettre des demandes plus écologiques et qu’ils réclament des produits bios et des processus de fabrication plus attentifs à l’environnement, la dimension économique du développement durable sera moins une contrainte qu’une incitation à l’innovation.

Source/Copyright: ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie)

Responsabilisation sociale des entreprises

Les entreprises doivent non seulement se soucier de leur rentabilité et de leur croissance, mais aussi des impacts environnementaux et sociaux de leur activité. La responsabilisation sociale des entreprises se construit ainsi comme un outil de régulation des problèmes sociaux et environnementaux, d’autant plus que les entreprises ont une capacité d’intervention efficace en faveur du développement durable : à travers les conditions de travail qu’elles proposent à leurs salariés ainsi que leurs pratiques de consommation de ressources naturelles ou de traitement des déchets.

Source/Copyright:  DOLCETA  site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.

Eco-produits respectueux de l’environnement  

Tous les produits de consommation ont des impacts sur l'environnement. Tout produit a besoin de matières premières et d’énergie pour être fabriqué. Tout produit doit être emballé et transporté. Même s’il est plusieurs fois recyclé, tout produit ou emballage deviendra un jour un déchet.
Mais certains d’entre eux, les éco-produits, sont plus respectueux de l’environnement que d’autres tout en conservant leurs qualités.
Vous pouvez limiter vos impacts sur l'environnement en sélectionnant des éco produits.

Source/Copyright: ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie)

Eco-conception et bénéfices à en attendre

L'éco-conception consiste à intégrer l'environnement dans les phases de conception ou d'amélioration d'un produit.

Source/Copyright: ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie)

Coût réel des technologies

Les technologies allant à l’encontre du développement durable semblent parfois être moins coûteuses que leurs équivalents durables parce que leurs prix ne reflètent pas le véritable coût environnemental ou les coûts sociaux de création et d’usage de certaines technologies. Par exemple, utiliser certains véhicules pour le transport de matière première peut nécessiter l’élargissement de certaines voies d’accès particulières (dégradant l’écosystème naturel alentour) tout en créant énormément de bruit (perturbant la paix de la communauté locale).

Source/Copyright:  DOLCETA  site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.

Innovation et autre mode de consommation et de production

 Il s’agit de développer des énergies renouvelables (énergie éolienne, solaire, géothermie, etc.), de favoriser les modes d’exploitation agricole durables permettant de limiter la dégradation des sols ou de promouvoir des pratiques d’utilisation des ressources naturelles et des conditions de travail certifiées.

Source/Copyright:  DOLCETA  site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.

Éco-produits et éco-conception

Lorsque les industriels intègrent l’environnement dès la conception des produits pour créer des éco-produits, on parle d’éco-conception.
L’éco-consommateur, quand il choisit d’acheter des éco-produits, encourage les efforts d’éco-conception réalisés par les industriels.

Source/Copyright: ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie)

Mobilité du futur et comportement des usagers

Le secteur des transports en France est dépendant du pétrole à plus de 95%. Or, la France ne produit pas de pétrole (à l‘exception de quelques barils). Les ingénieurs ont donc conçu des voitures qui consomment moins.
Si on croise la technologie avec l’usage réel, voici ce que l’on peut observer : dans les années 1930-1940, il y avait au mieux une voiture par foyer qui consommait certes 15 litres de carburant aux 100 km, mais qui parcourrait seulement 2 000 km/an. Ce qui nous donne au total 300 litres de carburant consommés par foyer.
Aujourd’hui, il n’est pas rare d’avoir 2 voitures par foyer, consommant 6.5 L/100km et parcourant 15 000 km chacune. Ce qui nous donne au total presque 2 000 litres de carburant engloutis par foyer.
On voit ici que la technologie ne peut être dissociée de la sociologie et du comportement des usagers. En cas de pénurie de pétrole ou de hausse drastique de son prix, il ne sert à rien de s’évertuer à construire un véhicule qui consomme encore moins, il faudra changer les pratiques.

Source/Copyright:  DOLCETA  site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.

Besoins d'innovations pour la mobilité de demain

La mobilité est en général corrélée avec l’habitat. Les enquêtes INSEE sur le budget des ménages le confirment : le budget consacré à l’alimentation est en baisse et c’est désormais le budget « transports » qui passe en seconde position (le numéro 1 restant les dépenses liées au logement). La mobilité de demain devra réinventer un urbanisme qui permet une mixité des fonctions. Le logement sera nécessairement plus proche du lieu de travail, et des services seront accessibles (loisirs, services à la personne, culture, santé…). Sinon, idem, il ne servira à rien d’aller vivre dans un logement moins cher et éloigné si c’est pour dépenser la différence en transports.

Source/Copyright:  DOLCETA  site d’éducation en ligne à la consommation de la Commission européenne.